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  MatterV - Migrez vos VMs VMware sans les casser
Posté par : ckforum - 16-06-2025, 19:34 - Forum : News - Pas de réponse
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Si vous ne le connaissez pas encore, MatterV est un hyperviseur open-source qui permet de faire tourner vos VMs VMware sans rien changer à votre vie, ce qui va vous éviter de vous faire saigner par Broadcom.

Car oui, les hausses tarifaires VMware atteignent des sommets de +800% à +1500% depuis le rachat par Broadcom, et MatterV débarque au bon moment avec une promesse technique qui va faire rêver tous les admins système : Être le premier hyperviseur au monde capable de faire tourner vos machines virtuelles VMware sans aucune modifications sur celles-ci.

Fini donc les nuits blanches à tout reconfigurer, fini les incompatibilités de drivers qui vous donnent des cheveux blancs…etc etc. MatterV vous promet une migration one-click où vous n’avez même pas besoin de désinstaller VMware Tools. Vos customizations, vos configurations réseau spécifiques…etc tout reste en place et le downtime de vos services ne sera que de quelques secondes seulement durant le transfert.



Vous vous en doutez, développer un hyperviseur capable de comprendre parfaitement les spécificités VMware sans rien casser, c’est un défi technique colossal mais l’équipe derrière MatterV semble avoir trouvé la formule magique.
En effet, l’architecture de MatterV repose sur un système de cluster management intelligent. D’un côté, vous avez une couche centralisée qui orchestre tout, de l’autre des hosts distribués qui font tourner vos VMs. Ce qui est malin, c’est que si la connexion entre le cluster et un host se coupe, vos machines virtuelles continuent de tourner sans broncher. Pas d’interruption, pas de panique, le host maintient toutes ses capacités de gestion locale.

Cette approche résout l’un des principaux reproches faits aux solutions de virtualisation : la dépendance à une infrastructure centralisée. Avec MatterV, même en cas de partition réseau complète, vos VMs gardent leurs performances maximales et l’interface de gestion locale reste accessible. C’est du pragmatisme technique bien pensé.

Cette arrivée de MatterV ne doit rien au hasard car comme je vous le disais en intro, depuis que Broadcom a mis la main sur VMware, c’est l’hécatombe tarifaire. Les licences perpétuelles ont été supprimées, remplacées par des abonnements obligatoires avec des bundles à la con. Selon les témoignages recueillis par la Commission européenne, certaines organisations du secteur éducatif sont même passées de 40 000 euros par an à plus de 500 000 euros pour le même service.

AT&T a même reporté une augmentation de plus de 1000% de ses coûts VMware, au point qu’une migration complète reste moins chère que de continuer avec Broadcom. Bref, la situation devient critique pour tout le monde.

Face à ce contexte explosif, MatterV mise donc sur la simplicité d’usage et la compatibilité matérielle. Construit sur une base RHEL/AlmaLinux, l’hyperviseur bénéficie d’un support à long terme de plus de 10 ans et d’une compatibilité étendue allant des systèmes legacy aux configurations les plus récentes. Pas besoin de renouveler tout votre parc matériel pour profiter de la solution, donc.

L’interface utilisateur est assez minimaliste avec des thèmes sombre et clair au choix, workflows simplifiés… L’équipe a visiblement travaillé la courbe d’apprentissage pour que vos équipes puissent prendre en main l’outil rapidement. C’est important quand on migre depuis une solution qu’on maîtrise depuis des années.

   

La réversibilité constitue l’autre atout majeur de MatterV. Si pour une raison ou une autre, vous voulez revenir à votre environnement VMware d’origine, c’est possible sans perte de données. Cette sécurité psychologique n’est pas négligeable quand on envisage une migration d’infrastructure critique.

Côté technique, MatterV implémente une gestion intelligente des ressources avec allocation dynamique basée sur les patterns d’usage en temps réel. Le système optimise automatiquement la répartition des ressources selon les besoins de vos workloads.

Le code est disponible sur GitHub sous licence MPL, ce qui vous garantit une transparence totale sur le fonctionnement interne. Notez que la version v0.7.0 est déjà disponible avec une démo en ligne pour vous faire une idée concrète de l’interface. Certes, c’est encore le début du projet, mais les retours de la communauté semblent plutôt positifs sur la stabilité et les performances.

doc MatterV : https://matterv.com/en/getting-started/matterv/
source : https://korben.info/matterv-migration-vm...ative.html

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  la téléportation quantique est arrivée
Posté par : ckforum - 24-12-2024, 12:39 - Forum : News - Pas de réponse
Auteur

Les chercheurs de l'Université Northwestern ont fait une découverte qui pourrait bien marquer le début d'une nouvelle ère pour les communications.

La téléportation quantique, longtemps cantonnée aux films de science-fiction, repose sur l’intrication quantique. Ce phénomène fascinant permet à deux particules d’être connectées comme par magie, peu importe la distance entre elles. Résultat ? L’information peut être transmise presque instantanément d’un point A à un point B, ouvrant ainsi la voie à des communications ultra-sécurisées et super rapides.

Jusqu’ici, on pensait que les photons individuels utilisés dans ce processus se perdraient au milieu des millions de particules lumineuses dans les câbles optiques classiques. Mais l’équipe de Northwestern University a prouvé le contraire en utilisant un câble de 30 km pour téléporter des informations quantiques. « C’est dingue car personne ne croyait ça possible », s’exclame le Professeur Prem Kumar, l’un des responsables du projet.

Un tour de magie avec nos infrastructures actuelles
Pas besoin de casser sa tirelire pour construire de nouvelles infrastructures ! Cette avancée peut s’intégrer directement dans les réseaux optiques qu’on utilise déjà. Partager une infrastructure unique entre réseaux classiques et quantiques ? C’est énorme ! « Notre travail montre comment faire cohabiter réseaux quantiques et classiques grâce à une seule infrastructure en fibre optique », explique le Professeur Kumar.

Pour y arriver, l’équipe a étudié la dispersion lumineuse dans les câbles et trouvé une longueur d’onde moins encombrée pour placer leurs photons. Ils ont aussi ajouté des filtres spéciaux pour réduire le bruit du trafic Internet habituel. Grâce à ces ajustements minutieux, ils ont pu réussir leur coup sans perturber notre connexion habituelle.

Quel avenir nous réserve cette technologie ?
Cette découverte ouvre la porte à un Internet qui serait non seulement plus rapide mais aussi ultra sécurisé (merci la vitesse limite imposée par la lumière). Des applications géniales pourraient voir le jour, surtout dans des domaines comme la cryptographie quantique où la sécurité est reine.

Mais quelques questions subsistent : pourquoi utiliser des câbles alors qu’on parle de téléportation ? Justement parce que c’est plus pratique et économique d’utiliser ce qui existe déjà plutôt que tout reconstruire !

L’avenir nous tend les bras
Prochaines étapes : tester sur encore plus long et utiliser plusieurs paires de photons intriqués en même temps pour vraiment montrer ce que cette technologie a dans le ventre. Le Professeur Kumar prévoit même d’essayer ça avec des câbles souterrains réels plutôt que dans leur labo bien propre.

La téléportation quantique, même si elle n’en est qu’à ses balbutiements pratiques, pourrait transformer radicalement notre façon d’échanger des infos. Avec 2025 désignée Année internationale de la technologie quantique par l’ONU, il est temps d’imaginer comment ces innovations pourraient refaçonner notre monde interconnecté.

En fin de compte, cette avancée souligne combien il est important de continuer à explorer la physique quantique tout en rêvant aux possibilités infinies offertes par cette technologie révolutionnaire pour notre futur numérique collectif.

Source de l'info : https://armees.com/personne-ne-pensait-q...t-arrivee/
autre : https://www.01net.com/actualites/telepor...ables.html

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  VMware abandonne les licences perpétuelles pour passer à un système d’abonnements !
Posté par : yoyo - 08-05-2024, 20:57 - Forum : News - Pas de réponse
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Un changement très important vient d'être officialisé par Broadcom, nouveau propriétaire de VMware : les licences perpétuelles, c'est terminé ! Désormais, les licences seront proposées sous la forme d'un abonnement ! Voici ce qu'il faut savoir.

Fin novembre, Broadcom a finalisé l'acquisition du géant VMware pour 61 milliards de dollars. Comme on pouvait s'y attendre, Broadcom commence à opérer de ses premiers changements au sein de l'entreprise que l'on appelle désormais "VMware by Broadcom".

Pour commencer, Broadcom s'attaque à la simplification de l'offre et à des changements sur les tarifs et le mode de licensing. En effet, depuis le 11 décembre 2023, il n'est plus possible d'acheter une licence perpétuelle !
Broadcom annonce qu'il n'y aura plus que deux produits principaux : VMware Cloud Foundation pour les infrastructures Cloud hybrides sur des environnements à grandes échelles, et VMware vSphere Foundation destiné aux environnements de petite et moyenne taille.



Il est important de préciser sur les solutions vSphere Standard et vSphere Essentials Plus seront toujours commercialisées, notamment pour les déploiements avec des exigences plus limitées. Des modules complémentaires seront disponibles pour la suite Aria, pour Private AI (bientôt disponible), ou encore pour vSAN.

L'abandon des licences perpétuelles, au profit des abonnements

Si vous avez actuellement des licences perpétuelles, sachez que Broadcom va prévoir un système d'échange pour inciter les entreprises à passer sur l'offre par abonnements. Pour que ce soit attractif, cette offre sera associée à d'importantes remises tarifaires. Pour le moment, nous ignorons le tarif de base des nouveaux abonnements.

Broadcom a précisé que les licences perpétuelles achetées auparavant pourront toujours être utilisées et que les contrats de "Support and Subscription" (SnS) seront honorés jusqu'à leur terme. Toutefois, leur renouvellement ne sera pas possible.

La fin des licences perpétuelles risque de provoquer du mécontentement chez certains DSI... Désormais, il va falloir s'adapter à ce nouveau mode de licensing que VMware est en train de déployer. De son côté, Krish Prasad, responsable de la division Cloud Foundation de VMware précise : « VMware estime qu'un modèle d'abonnement apporte à nos clients l'innovation et la flexibilité dont ils ont besoin pour entreprendre leur transformation numérique ».



Source : https://www.it-connect.fr/broadcom-vmwar...onnements/

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  VMWare se meurt et Fin des licences perpétuelles
Posté par : yoyo - 08-05-2024, 20:08 - Forum : News - Pas de réponse
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Les clients et les partenaires de VMware subissent les conséquences de l'acquisition de l'éditeur par Broadcom en novembre dernier, et ils ne sont pas satisfaits.

On savait que le rachat de VMware par Broadcom, pour 69 Md$ en novembre dernier, s'accompagnerait de changements. Mais on ignorait qu'ils seraient à ce point radicaux qu'ils amèneraient amèneraient des partenaires et des clients à s'interroger sur leur engagement vis-à-vis de VMware. Jusqu'ici, beaucoup de professionnels de l'IT ne juraient pourtant que par la vaste gamme de produits de l'éditeur. Bien avant le rachat, ils étaient déjà nombreux à exprimer des doutes sur l'opération. Forrester Research avait estimé que jusqu'à 20 % des entreprises clientes de VMware passeraient rapidement à un nouveau fournisseur de machines virtuelles. Selon les analystes du cabinet d'études, les clients de l'éditeur « sont fatigués par les hausses de prix importantes, la dégradation de l'assistance et l'abonnement obligatoire à des offres logicielles où certains modules comme NSX et Aria Suite/vRealize Suite sont presque devenus du matériel d'étagère ». Ils ne croyaient pas non plus, compte tenu de l'approche radicale suivie par Broadcom lors des acquisitions de CA Technologies et de Symantec, que les produits et services de VMware qu'ils appréciaient seraient maintenus.

56 produits et plates-formes supprimées

Force est de constater que la façon dont les choses se déroulent depuis la finalisation du rachat leur donne raison. Broadcom a supprimé pas moins de 56 produits et plates-formes de VMware, y compris les plus populaires, à savoir VMware vSphere+, VMware Aria Suite et VMware NSX. Il va également se débarrasser de l'unité de calcul « utilisateur final » de VMware, qui comprend les offres Workspace ONE et Horizon. D'autres gammes sont également en train d'être enterrées. Mais c'est la décision, même pas officialisée par Broadcom, de se débarrasser discrètement de la version gratuite de l'hyperviseur ESXi de VMware qui semble devoir déranger le plus de monde. Elle a été découverte parce qu'un utilisateur perspicace a repéré un article dans la base de connaissances de VMware révélant la suppression en préparation. Pour les entreprises, ce n'est pas très grave. Celles qui ont utilisé cette version limitée d'ESXi ne sont pas légion. Mais beaucoup d'aficionados de VMware ont commencé à utiliser la pile VMware uniquement après avoir bricolé avec l'hyperviseur ESXi gratuit. D'autres appréciaient de pouvoir tester des projets avec la version gratuite avant de les mettre en production. Cette époque est révolue. 

IMPORTANT Même avec une licence perpétuelle, aucun produit n'est à l'abri. Tous sont menacés. Le VMware de Broadcom met fin aux ventes de licences perpétuelles. Si un produit n'est pas supprimé, il faudra payer un abonnement pour le conserver. Car, à partir de maintenant, il faut s'attendre à voir apparaître des licences de type SaaS.

Les concurrents à l'affût

Selon Broadcom, l'objectif est de transformer ses « activités pour offrir une innovation plus rapide et une plus grande valeur aux clients, ainsi qu'une meilleure rentabilité et de meilleures opportunités de marché pour ses partenaires ». Il semble bien que cette ambition ne soit pas du goût de tous. En revanche, les concurrents de VMware, notamment Nutanix. Scale Computing et Virtuozzo, s'en réjouissent. Les grandes entreprises, comme Microsoft avec Hyper-V/Azure Stack et Red Hat avec OpenShift Virtualization, ont également des raisons de placer les clients VMware en tête de leur liste de leurs cibles. Outre le changement de licence VMware, toujours inquiétant, les clients de l'éditeur sont aussi très préoccupés par la tarification de la nouvelle gamme. Même avant que Broadcom ne rachète l'entreprise, VMware était cher. Désormais, ils craignent, à juste titre, de devoir débourser davantage.

Des partenaires laissés en plan et des clients repris en direct

Les partenaires de VMware, autrefois florissants, sont tout aussi inquiets. La plupart des clients ne travaillent pas directement avec VMware, mais plutôt avec son réseau de prestataires de services IT. Or, Broadcom s'est débarrassé de tous ses revendeurs et partenaires de service. Ensuite, il a ouvert la porte à ses meilleurs anciens partenaires pour qu'ils reviennent. Mais l'ont-ils fait ? De plus, VMware a repris ses 2 000 principaux clients en direct, ce qui ne laisse pas beaucoup de place aux anciens partenaires de VMware. Le slogan des partenaires de VMware, « VMware Partners : un écosystème de confiance », a du plomb dans l'aile. Ceux qui espèrent que leur bon vieux VMware pourra les guider dans cette nouvelle aventure avec Broadcom devraient se raviser. Beaucoup d'entre eux devront se débrouiller seuls ou, plus probablement, s'associer à un autre fournisseur. Broadcom a beau dire que les changements qu'il opère vont améliorer les choses, il est difficile d'y croire. Son bilan en matière d'acquisition d'éditeurs de logiciels pour entreprise ne plaide pas pour lui.


Source de l'info : https://www.distributique.com/actualites...34868.html

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  Fin de vie pour CentOS, quelle alternative?
Posté par : yoyo - 20-04-2024, 12:25 - Forum : News - Pas de réponse
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Red Hat a pris la décision en décembre 2020 d’abandonner la distribution de Linux CentOS. Beaucoup d’entreprises sont prises au piège de cette fin de vie anticipée. Découvrons quelles décisions prendre pour vos serveurs.

Quelles sont les raisons de l’arrêt de CentOS?
L’annonce a fait l’effet d’une mauvaise surprise en pleine période de fêtes de fin d’année, Red Hat annonçait la fin de vie des CentOS Linux 7 et 8. Red Hat ayant été racheté par IBM et étant le leader des solutions Linux payantes (principalement pour le support de l’éditeur), ce dernier voyait CentOS comme une concurrence à sa distribution Linux RHEL.

CentOS est très majoritairement utilisé dans les entreprises depuis 2004, en arrêtant cette distribution Red Hat pense pouvoir convertir ces utilisateurs vers la version payante RHEL.

Chez Red Hat, nous n’avons jamais été responsables de l’utilisation de CentOS Linux par les clients, c’est leur décision d’opter pour un projet communautaire dans le cadre de leurs déploiements et de leurs développements.

Hervé Lemaitre Platform BDM & Strategist EMEA chez Red Hat
Red Hat arrête-t-il vraiment CentOS malgré CentOS Stream?
CentOS telle que cette distribution Linux existe actuellement, oui c’est une fin de vie. Il faut savoir que la distribution Fedora est l’upstream de Red Hat Entreprise Linux « RHEL » et CentOS était la version libre de RHEL. En tant que version libre de RHEL, CentOS est définitivement mort.

Néanmoins Red Hat ajoute CentOS Stream pour la remplacer. Il s’agit d’une autre distribution Linux qui va se placer entre Fedora et RHEL.

Fedora possède un cycle de développement rapide et peu de suivi dans le temps pour les mises à jour, en moyenne 1 an. Le but étant d’intégrer rapidement toutes les nouveautés qui sortent au niveau du kernel, des logiciels, fonctionnalités.

CentOS Stream va se positionner entre Fedora et RHEL pour stabiliser les nouveautés de Fedora avant l’intégration dans RHEL. Cette distribution est donc une sorte de version test pour RHEL et non plus un clone libre qu’était CentOS.



Quelle Linux pour remplacer CentOS?
Beaucoup de personnes et entreprises se posent la question « Par quoi remplacer CentOS? ». La réponse doit se construire en fonction de vos besoins.

Pour une utilisation orientée web / Cloud, nous vous recommandons l’utilisation de distribution Linux adaptée comme Debian, Arch, Alpine.

Pour une utilisation orientée industrie / serveur SI interne, nous vous recommandons RHEL, SUSE ou Ubuntu si vous avez besoin d’un support éditeur. OpenSuse et Ubuntu pourront aussi faire l’affaire sans support éditeur.

Vous pourriez aussi être intéressé par Rocky Linux qui est un fork communautaire de CentOS mais cette distribution est jeune et son avenir incertain.

La bonne question est surtout quelle dépendance à un fournisseur accepterez-vous?

Comme cette actualité le démontre, malgré le support d’une entreprise l’annonce subite de l’arrêt de CentOS démontre qu’on ne peut véritablement se baser sur un éditeur pour bénéficier d’un suivi long terme.

Les distributions communautaires permettent une approche du changement plus ouverte. En effet tout changement majeur sera d’abord débattu puis proposé au vote à la communauté. L’application de ces changements est donc transparent et laisse le temps nécessaire aux tests des changements et à la prévision / migration des changements.


Info :info redhat
Soruce info :https://www.digdeo.fr/articles/actualite...lternative

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