Derniers sujets | VMware abandonne les lice... Forum : News Dernier message : yoyo 08-05-2024, 20:57 » Réponses : 0 » Affichages : 596 | VMWare se meurt et Fin de... Forum : News Dernier message : yoyo 08-05-2024, 20:08 » Réponses : 0 » Affichages : 507 | Fin de vie pour CentOS, q... Forum : News Dernier message : yoyo 20-04-2024, 12:25 » Réponses : 0 » Affichages : 817 | L’IA résout le casse-tête... Forum : News Dernier message : ckforum 29-02-2024, 00:53 » Réponses : 0 » Affichages : 886 | Une batterie nucléaire qu... Forum : News Dernier message : ckforum 14-01-2024, 09:38 » Réponses : 0 » Affichages : 1,531 | Brave sort officiellement... Forum : News Dernier message : ckforum 03-11-2023, 13:25 » Réponses : 0 » Affichages : 1,233 | Un sauveur inattendu repr... Forum : News Dernier message : yoyo 23-07-2023, 06:29 » Réponses : 0 » Affichages : 2,668 | Brave : Que vaut ce navig... Forum : News Dernier message : ckforum 28-06-2023, 17:45 » Réponses : 0 » Affichages : 3,013 | Sosh : la 5G arrive enfin... Forum : News Dernier message : yoyo 03-06-2023, 15:30 » Réponses : 0 » Affichages : 3,057 | Disque de stockage 5D : l... Forum : News Dernier message : yoyo 03-05-2023, 21:22 » Réponses : 0 » Affichages : 2,580 | | Midjourney : pourquoi IA de génération d'images coupe son accès gratuit | Posté par : yoyo - 01-04-2023, 09:24 - Forum : News - Pas de réponse | Les (très nombreux) utilisateurs de Midjourney payent la rançon du succès de cette IA génératrice de contenus très populaire. Le P.-D.G. de Midjourney David Holz a en effet annoncé la coupure de l'accès gratuit, et c'est apparemment la faute d'utilisateurs trop enthousiastes. La fin de la (Mid)journey gratuite Depuis son arrivée en 2022, Midjourney a, à l'instar de DALL-E, défrayé la chronique, autant pour de bonnes que de mauvaises raisons. L'IA permettant de créer des images d'une qualité somme toute bluffante en quelques instants à partir d'un texte a en effet rencontré un succès proprement fulgurant. Une telle popularité a même forcé les communautés d'art, cherchant à protéger le dur labeur des artistes de chair et d'os, à bannir ces œuvres dites « assistées par l'IA » de leurs rangs. Certaines ne savaient même plus sur quel pied danser, bannissant à tort des œuvres « véritables » en pensant qu'elles avaient été créées par Midjourney et autres. Cet énorme succès était en partie dû à l'accès gratuit qui permettait de produire un certain nombre d'images et d'essayer cet outil très prometteur. Face à un afflux beaucoup trop important d'utilisateurs multipliant les comptes gratuits, ayant même apparemment engendré une panne temporaire des serveurs, il a finalement été décidé, au grand dam de la communauté, de couper les ponts avec l'accès gratuit. Mieux vaut prévenir que guérir ? On peut toutefois être légitimement surpris par une telle décision. L'arrivée de nouveaux utilisateurs intrigués par Midjourney a connu au fil du temps une croissance proprement exponentielle. La raison officieuse pourrait se trouver derrière le récent déploiement de la version 5. Si celle-ci n'est pour l'heure accessible qu'aux abonnés, les changements majeurs qu'elle a apportés à l'IA pour créer des images pour le moins saisissantes de photoréalisme ont eu un double effet viral et pervers. Outre des images du pape en doudoune, nous avons également eu droit à d'autres représentant par exemple Donald Trump en train d'être arrêté par la police. De tels deepfakes, que beaucoup ont pris pour de véritables clichés, ont pour ainsi dire fait une mauvaise publicité à Midjourney, qui a été découverte par des internautes pour de mauvaises raisons. Histoire de limiter la casse, et avant que la version 5 ne devienne plus largement accessible au public, l'accès gratuit a donc pu être coupé, entre autres pour cette raison. Jusqu'à nouvel ordre, il n'est en tout cas plus possible de s'amuser quelque temps sur Midjourney gratuitement. Un mal pour un bien ? Source de l'article : https://www.clubic.com/technologies-d-av...atuit.html | | | Windows Server 2022 ne démarre plus à cause des dernières mises à jour | Posté par : yoyo - 17-02-2023, 15:15 - Forum : News - Pas de réponse | Suite à l'installation des mises à jour de février 2023, certains utilisateurs se plaignent de ne plus pouvoir démarrer les machines virtuelles sous Windows Server 2022 lorsque VMware ESXi est utilisé. Faisons le point sur ce problème ! Au sein de la documentation de Microsoft, on peut lire des informations sur ce problème connu : "Après l'installation de la KB5022842 sur des machines virtuelles (VMs) exécutant Windows Server 2022 sur certaines versions de VMware ESXi, Windows Server 2022 peut ne pas démarrer." Pour être plus précis, ce problème impact uniquement les machines virtuelles qui respectent les conditions suivantes : - Système d'exploitation invité : Windows Server 2022
- Secure Boot activé dans les paramètres de la VM
- Hyperviseur sous VMware ESXi 6.7 U2, ESXi 6.7 U3 et ESXi 7.0.X
VMware et Microsoft mènent des investigations à ce sujet afin de trouver une explication et une solution. Toutefois, il y a deux solutions temporaires applicables (plus ou moins facilement...) par les administrateurs : - Première solution :
- Mettre à jour l'hyperviseur VMware ESXi vers la version 8.0
- Désactiver le Secure Boot sur la VM
- Ne pas installer la mise à jour KB5022842 tant que le problème n'est pas résolu par les éditeurs
- Deuxième solution :
- Désactiver le Secure Boot dans les paramètres de la VM
Personnellement, je demande à voir dans la pratique si cela résout réellement le problème lorsqu'il est rencontré... Si vous avez un retour d'expérience à faire sur le sujet, n'hésitez pas à laisser un commentaire. Visiblement, le simple fait de désinstaller la mise à jour sur la VM Windows Server 2022 concernée ne permet pas de résoudre le problème. Pour le moment, si vous respectez les conditions évoquées ci-dessus, il vaut mieux éviter d'installer la mise à jour de février 2023 sur vos machines virtuelles, au risque de planter la production. Pour rappel, un article complet dédié au Patch Tuesday de février 2023 est disponible sur notre site. | | | Le navigateur Arc, un concurrent de taille à Google Chrome ? | Posté par : yoyo - 06-02-2023, 16:53 - Forum : News - Pas de réponse | Tout le monde connaît Google Chrome, mais avez-vous entendu parler du navigateur Arc ? Bien plus qu'un simple navigateur, Arc est un réel système d'exploitation pour Internet permettant d'améliorer votre expérience de navigation : meilleur chargement des pages, sécurité renforcée, bloqueur de publicités intégré (uBlock Origin), fonctionnalités uniques et originales, voyons ce qu'a à offrir Arc Browser, ce navigateur alternatif à Google Chrome, qui promet de réinventer la manière de naviguer sur le web. Le Navigateur Arc, un navigateur web expérimental qui favorise la concentration et le multitâche Arc Browser a été développé par The Browser Company of New York. Sa mission est claire : inventer le futur d'internet et répondre au problème des interfaces de navigation contre-productives que l'on peut trouver actuellement sur le marché. L'idée est donc de proposer un navigateur qui s'adapte aux besoins individuels de ses utilisateurs, ainsi qu'une interface qui améliore la concentration et la capacité à réaliser du multitâche. Et c'est visiblement bien parti ! L'équipe est composée d’anciens employés de grandes entreprises telles que Facebook, Tesla, Snapchat, Slack, Amazon... En bref, de nombreux A Players. Et même si ce navigateur a pour objectif de concurrencer Google Chrome, Arc utilise le même moteur open source que ce dernier : Chromium. De ce fait, toutes les extensions Chrome fonctionnent sur Arc, ce qui facilite grandement sa prise en main. Ensemble, nous allons voir les diverses fonctionnalités qu'Arc rend désormais possible, afin de manier plus facilement l'outil et de balayer son champ d'action. Une interface innovante et pleine de surprises Le navigateur Arc dispose d'un design original, ergonomique et pensé pour faciliter le quotidien de ses utilisateurs. De plus, l'interface est entièrement personnalisable. La barre de navigation à gauche, une des spécificités d'Arc Browser Une des fonctionnalités originales d'Arc réside dans l'emplacement de la barre latérale, ou sidebar, qui est placée à gauche de l'écran pour désencombrer l'interface de navigation et permettre une meilleure lisibilité. Elle regroupe, de la manière la plus organisée possible, les favoris épinglés, les dossiers d'onglets, les pages épinglées ainsi que les onglets ouverts. Il est possible de masquer cette barre de navigation (Command + S) pour obtenir un environnement sans distractions et, dans ce sens, être plus concentré sur la tâche. De plus, Arc l'a bien compris : le véritable problème de Chrome réside dans le fait qu'en l'utilisant, nous accumulons les onglets ouverts, qui deviennent très nombreux et, pour la plupart, inutiles. Résultat, nous sommes vite surchargés ou perdus parmi eux. Aujourd'hui, Arc règle le problème en faisant le ménage pour nous. Dans cette optique, il ferme, de manière autonome, les onglets inactifs au bout d'un certain temps (12 h par défaut mais cette variable est totalement paramétrable). Des workspaces séparés et illimités, pour une meilleure organisation Une autre spécificité d'Arc est le fait que, pour toujours plus d'organisation, ce navigateur vous permet de créer différents workspaces, ou espaces (Icône + > New space). C'est une fonctionnalité très utile pour éviter de vous perdre entre vos onglets professionnels et personnels par exemple (c'est le cas dans la capture ci-dessus avec les deux bullets en bas de la navbar). Dans ce sens, basculez facilement entre les onglets que vous utilisez pour le travail et les onglets que vous souhaitez consulter pendant votre temps libre, grâce aux icônes en bas de page. Vous pouvez également créer des workspaces spécifiques à vos différents clients. En sortant du contexte professionnel, un espace peut représenter un domaine, une activité particulière ou un sujet. Créez autant de workspaces que vous en avez besoin, ils sont illimités ! Une multitude d'options sont permises grâce à cette fonctionnalité plus qu'innovante et la règle est qu'il n'y en a aucune : vous êtes libre de créer le moteur de recherche qui correspond à vos attentes et besoins quotidiens. Petit + : les couleurs des workspaces ainsi que les icônes qui les représentent sont totalement personnalisables. Les "Bookmarks" et autres organisateurs pour garantir un espace plus qu'optimisé Arc est le roi de l'organisation : - Les Bookmarks, ou favoris, apparaissent à gauche, comme un onglet classique, mais, eux, ne sont pas supprimés automatiquement. Il est d'ailleurs, pour les plus utiles, possible de les épingler en haut de la barre de navigation. Ces derniers ont l'avantage de pouvoir être prévisualisés. Ci-dessous un exemple. En survolant l'agenda Google, il vous est possible d'avoir un aperçu des événements à venir ; en survolant Gmail, vous verrez en un coup d'œil vos nouveaux mails, etc.
- En dessous de la barre des favoris, il vous est possible de créer des dossiers de bookmarks en y glissant les sites les plus visités, par catégorie (Icône + > New Folder).
- Enfin, vos onglets classiques apparaîtront dans les Tab (+ New Tab > Tapez votre recherche dans la barre qui apparaît)
Organisation de la barre latérale d'Arc Browser Une barre de commande intégrée au navigateur, avec une multitude de raccourcis clavier Avec Arc, fini la barre d'URL en haut de l'écran avec tous les onglets ouverts. La command bar apparaît avec "+ New Tab" ou Command + T et permet de trouver absolument tout : que vous cherchiez une information parmi vos onglets, une extension, une commande (le screenshot par exemple), des raccourcis clavier ou une recherche Google classique... Tout passe par cette barre de recherche. Le navigateur met le focus sur la productivité et l'efficacité en proposant une miultitude de raccourcis clavier très pratique, par exemples :- Copier l'Url de l'onglet actuel
- Faire une capture d'écran
- Ouvrir la liste des extensions
- Passer d'un espace à l'autre
- Spliter la vue actuelle
- ...
Une multitude d'autres fonctionnalités qui enrichissent le navigateur Arc Easel, des dashboards intelligents et collaboratifs Les Easels (Icône + > New Easel) sont des tableaux dynamiques intelligents et collaboratifs. Grâce à eux, il vous est possible de faire une capture d'écran d'un site web et de l'importer dans un Easel. La spécificité réside dans le fait que cette capture d'écran est totalement dynamique. En réalité, vous ne prenez pas un simple screenshot mais une petite partie d'un site web et l'intégrez dans un tableau. De ce fait, ces derniers seront mis à jour de manière totalement autonome : Un screenshot dynamique et évolutif. Ces easels peuvent être rendu publiques et sont très utiles pour créer des dashboards. Vous pouvez agrémenter votre Easel comme bon vous semble, avec des dessins et annotations. C'est véritablement un nouvel usage du navigateur web qui est disponible grâce à Arc. Créer un Easel, tableau dynamique et collaboratif La Librairie, pour retrouver tous vos documents en un clin d'œil La librairie est une fonctionnalité très utile, en quelques mots, c'est votre finder directement dans ARC. La librairie vous permet d'accéder rapidement à toutes les captures d'écran que vous avez effectué, tous vos téléchargements ainsi que tous les easels que vous avez créé. Split View, pour une meilleure productivité Le Split View (Onglet > ... > Open in split view) vous permet de diviser votre écran en deux (ou +) onglets. Accédez à la vue partagée en cliquant sur "..." à côté d'un onglet. Arc vous demandera avec quel(s) onglet(s) vous souhaitez spliter votre écran. C'est extrêmement utile lorsque l'on veut faire plusieurs choses en même temps, ou que l'on a besoin de deux fenêtres pour travailler. Little Arc, pour effectuer des recherches rapidement Le module Little Arc est accessible grâce au raccourci Command + Option + N. Elle ouvre une version miniature du navigateur, dans une interface réduite. L'avantage principal de Little Arc c'est de ne pas polluer votre fenêtre principale. Vous recevez un lien dans un email, Arc va l'ouvrir dans une fenêtre Little Arc. Pourquoi ? Parcequ'il comprend que cet onglet est voué à être fermé rapidement, et il a raison ! En d'autres termes, Little Arc fait apparaître le contenu en petit, comme lorsque nous consultons une vidéo Youtube en mode réduit sur notre téléphone portable. Les boosts, feature d'édition avancée Les boosts (Icône + > New Boost) sont davantage destinés aux développeurs maîtrisant les langages CSS et JavaScript. Ils permettent de facilement changer le style d'un site web, de remplacer du contenu ou d'ajouter son propre contenu sur un site, d'y ajouter de nouvelles fonctionnalités... Vous pouvez également customiser de manière avancée un site grâce à l'option "start from scratch". Une fonctionnalité révolutionnaire pour un navigateur et pour nos confrères les développeurs ! Pour une Agence spécialisée en création de site internet, quoi de mieux que de pouvoir modifier tout les sites du monde selon notre bon-vouloir ? Une meilleure sécurité via le navigateur Arc The Browser Company s'engage à ne pas collecter ni revendre aucune information privée relative à l'historique de navigation, aux recherches, aux achats en ligne, etc. L'ensemble de la data collectée n'est partagée qu’avec les fournisseurs de services d'Arc ainsi que les autorités, si une enquête est ouverte. Le picture-in-picture Le Picture-in-Picture (ou PiP) vous permet de visionner une vidéo dans une fenêtre flottante. Arc intègre cette fonctionnalité : vous avez la possibilité de faire du picture-in-picture sur plusieurs onglets. Très pratique pour regarder une vidéo tuto tout en appliquant le tuto. Arc propose aussi des fonctionnalités cachés et ajoute de nombreuses fonctionnalités aves ses mises-à-jour. N'oublions pas que le navigateur est encore au tout début de sa vie et que l'équipe de développent est très active pour ajouter de nouvelles fonctionnalités. En conclusion, un navigateur qui présente peu de bémols, à première vue Une haute consommation de ressources Un des plus gros désavantages d'Arc, pour le moment, est le fait qu'il consomme une grande quantité de ressources. En effet, il se montre jusqu'à 2,5 fois plus demandeur en RAM que ses principaux concurrents Chrome, Firefox ou encore Edge. Mais n'oublions pas que ce navigateur est nouveau et encore en version bêta pour le moment. Peut-être que ce problème sera réglé au fur et à mesure des améliorations futures. Source de l'information : https://citronnoir.com/marketing-digital...le-chrome/ Petite video : | | | Ransomware : vaste campagne contre les serveurs VMware ESXi | Posté par : yoyo - 04-02-2023, 15:46 - Forum : News - Pas de réponse | [mise à jour, le 4 février 2023 à 12h10] Le moteur de recherche spécialisé Onyphe recense désormais plus de 500 systèmes VMware ESXi affectés à travers le monde. Pour l'heure, le ransomware impliqué est appelé ESXiArgs, indiquent nos confrères de Bleeping Computer, parce que l'extension des fichiers chiffrés est modifiée en ".args". Léger, environ 49 Ko, l'exécutable chargé du chiffrement est lancé par un script shell. Dans la nuit, Enes Sonmez de l'équipe technique de YoreGroup a produit un pas à pas qui, de sources concordantes, fonctionne et permet de récupérer les fichiers chiffrés sans avoir à passer par la restauration de sauvegardes. De quoi potentiellement aider à accélérer la remise en route des services affectés. [article original, le 3 février 2023 @ 19h05] Arnaud de Bermingham, fondateur et de président de Scaleway, sonnait l’alarme peu après 14h30, ce vendredi 3 février, sur Twitter : « si vous utilisez ESXi 6.x, mettez à jour immédiatement, un cryptolock est en train de se propager à toute vitesse ». Ikoula l’avait précédé de quelques minutes. Mais pour beaucoup, c’était déjà trop tard. Peu après 12h40, Nice Météo 06 indiquait rencontrer un problème sur son serveur informatique. Une heure après, son cofondateur explique : « la machine est un hôte ESXi, et on me demande 2 BTC ». Son cas n’est pas isolé. Le serveur ESXi 6.7 d’un client espagnol d’OVHcloud est également frappé. Le montant demandé est le même. La radio H2O Chambery semble également concernée. Fanampiana évoque un « problème technique » de son serveur OVH. Des clients de l’allemand Hetzner semblent aussi affectés. Quel ransomware ? Toutes les demandes de rançon liées à cette campagne que nous avons pu consulter exigent le même montant : un peu plus de 2 bitcoins, sous trois jours. Les adresses de paiement sont différentes pour chaque victime, mais l’identifiant de messagerie instantanée chiffrée Tox ne change pas. La rumeur a, un temps, fait référence au ransomware Nevada tout récemment mentionné par ReSecurity. Mais la demande de rançon observée sur les serveurs ESXi compromis aujourd’hui ne correspond pas : elle rappelle plutôt celle du rançongiciel CheersCrypt. En l’absence d’échantillon disponible à l’heure de publier ces lignes, il est toutefois impossible d’arriver à une conclusion. Reste que Nevada est un ransomware déployé dans le cadre d’attaque manuelles, à l’instar d’Avos, de BlackCat, de LockBit, par exemple. Autant de ransomware dits « manually operated » qui disposent d’une variante Linux/ESXi. La campagne lancée ce 3 février contre les serveurs ESXi ressemble plutôt à une opération automatisée de grande ampleur profitant de l’exploitation de vulnérabilités pour lesquelles les correctifs n’ont pas été appliqués. De quoi rappeler des campagnes comme celles ayant touché des NAS, avec Qlocker, eCh0raix ou DeadBolt. En quelques heures, le moteur de recherche spécialisé Shodan a déjà recensé 69 systèmes ESXi compromis à travers le monde, dont 25 rien qu’en France. OVHcloud arrive clairement en première ligne dans ces données. Quelle(s) vulnérabilité(s) exploitée(s) ? La – ou les – vulnérabilité exploitée dans cette campagne n’est pas encore parfaitement déterminée à l’heure où sont publiées ces lignes. Scaleway a initialement fait référence à la série couverte par le bulletin VMSA-2022-0030 d’août dernier. D’autres ont suggéré l’exploitation de la CVE-2020-3992. OVHcloud avance une autre piste : celle de l’exploitation de la vulnérabilité CVE-2021-21974. La campagne viserait principalement les serveurs ESXi de version antérieure à la 7.0 U3i via leur port OpenSLP (427). Des démonstrateurs d’exploitation de cette vulnérabilité sont publiquement disponibles depuis le mois de mai 2021. VMware avait publié un bulletin d’alerte sur cette vulnérabilité trois mois plus tôt. Source de l'information : https://www.lemagit.fr/actualites/365530...Mware-ESXi | | | Voici comment Netflix va vous empêcher de partager votre mot de passe | Posté par : yoyo - 01-02-2023, 12:25 - Forum : News - Réponses (1) | Ce n’est pas un secret, Netflix a annoncé sa volonté de lutter contre le partage de mots de passe qui affecte les revenus de l’entreprise. Aujourd’hui, le géant américain détaille la manière dont il va s’y prendre pour empêcher les utilisateurs de partager leurs comptes. Selon Netflix, la fin du partage de mot de passe approche à grands pas. Depuis des mois, l’entreprise teste de nouvelles manières de mettre fin à cette pratique qui représente une perte de revenus importante. Aujourd’hui, on retrouve sur le site de Netflix les premiers détails sur les nouvelles restrictions de partage de compte. Comment Netflix compte mettre fin au partage de compte Le géant du streaming a mis en ligne, dans sa FAQ, les mesures mises en place autour du partage de compte Netflix. Le premier rappel est assez limpide : « Un compte Netflix est destiné aux personnes qui vivent ensemble dans un même foyer ». Les appareils détectés dans d’autres endroits pourront donc être empêchés de regarder Netflix. Pour savoir précisément où vous vous trouvez et ainsi restreindre l’accès en conséquence, le service utilisera certaines informations comme « l’adresse IP, l’ID de l’appareil et l’activité du compte depuis des appareils connectés au compte Netflix ». L’objectif est toujours de déterminer si votre compte est connecté à votre emplacement principal. Si vous voyagez avec votre appareil principal, l’entreprise précise que vous n’aurez aucun mal à l’utiliser ailleurs. La « seule » exigence de Netflix est de vous connecter au Wi-Fi depuis votre emplacement principal au moins une fois tous les 31 jours. Au-delà de cette période, votre appareil peut ne plus pouvoir regarder Netflix. Dans ce cas, il faudra alors demander un code d’accès temporaire pour continuer à utiliser le service. Netflix compte également rendre le partage avec la famille et les amis plus compliqués, comme le précise Netflix sur son site français : « Lorsqu’un appareil situé hors de votre foyer s’identifie sur votre compte ou est utilisé régulièrement, nous pouvons vous demander de le vérifier avant qu’il puisse servir à regarder Netflix ou de changer de foyer Netflix. Nous confirmons ainsi que l’appareil utilisant le compte est autorisé à le faire. » Concrètement, Netflix vérifiera l’appareil en envoyant un mail au propriétaire du compte principal, qui aura ensuite 15 minutes pour rentrer le code à quatre chiffres qui s’affichera après avoir cliqué sur un lien dans le mail en question. Cela peut donc devenir contraignant si la personne avec qui vous partagez le compte n’est pas suffisamment réactive pour vous donner le fameux code. De plus, Netflix précise que « la vérification de l’appareil peut être exigée périodiquement ». Le nombre d’utilisateurs pouvant utiliser un compte Netflix en simultané n’est pas affecté, à condition qu’ils appartiennent tous au même foyer. Le transfert de profil comme alternative Vous l’avez compris, l’objectif de Netflix est de vous dissuader de partager un mot de passe avec des personnes qui ne font pas partie de votre foyer. L’entreprise espère ainsi inciter certains utilisateurs de la plate-forme à payer « le prix fort » pour avoir leur propre compte. Pour faciliter cette transition, Netflix a multiplié les initiatives ces derniers mois. Cela a commencé par la fonctionnalité de « transfert de profil » qui permet à un utilisateur de migrer leur compte partagé vers un nouveau compte, sans perdre l’historique, les suggestions et les paramètres. L’autre étape du plan de bataille concerne l’arrivée d’une offre payante avec publicité pour faire baisser le prix d’appel de l’abonnement. Netflix joue les équilibristes en essayant d’un côté de stopper la fuite de ses abonnés, tout en cherchant à générer plus de revenus, de l’autre, en partant à la chasse au partage de compte. L’avenir nous dira si ces stratégies portent leurs fruits pour l’entreprise. Source de l'info : https://www.01net.com/actualites/voici-c...passe.html Source de l'info : https://www.ghacks.net/2023/01/31/how-ne...t-sharing/ | | | |