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  Fin de vie pour CentOS, quelle alternative?
Posté par : yoyo - 20-04-2024, 12:25 - Forum : News - Pas de réponse
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Red Hat a pris la décision en décembre 2020 d’abandonner la distribution de Linux CentOS. Beaucoup d’entreprises sont prises au piège de cette fin de vie anticipée. Découvrons quelles décisions prendre pour vos serveurs.

Quelles sont les raisons de l’arrêt de CentOS?
L’annonce a fait l’effet d’une mauvaise surprise en pleine période de fêtes de fin d’année, Red Hat annonçait la fin de vie des CentOS Linux 7 et 8. Red Hat ayant été racheté par IBM et étant le leader des solutions Linux payantes (principalement pour le support de l’éditeur), ce dernier voyait CentOS comme une concurrence à sa distribution Linux RHEL.

CentOS est très majoritairement utilisé dans les entreprises depuis 2004, en arrêtant cette distribution Red Hat pense pouvoir convertir ces utilisateurs vers la version payante RHEL.

Chez Red Hat, nous n’avons jamais été responsables de l’utilisation de CentOS Linux par les clients, c’est leur décision d’opter pour un projet communautaire dans le cadre de leurs déploiements et de leurs développements.

Hervé Lemaitre Platform BDM & Strategist EMEA chez Red Hat
Red Hat arrête-t-il vraiment CentOS malgré CentOS Stream?
CentOS telle que cette distribution Linux existe actuellement, oui c’est une fin de vie. Il faut savoir que la distribution Fedora est l’upstream de Red Hat Entreprise Linux « RHEL » et CentOS était la version libre de RHEL. En tant que version libre de RHEL, CentOS est définitivement mort.

Néanmoins Red Hat ajoute CentOS Stream pour la remplacer. Il s’agit d’une autre distribution Linux qui va se placer entre Fedora et RHEL.

Fedora possède un cycle de développement rapide et peu de suivi dans le temps pour les mises à jour, en moyenne 1 an. Le but étant d’intégrer rapidement toutes les nouveautés qui sortent au niveau du kernel, des logiciels, fonctionnalités.

CentOS Stream va se positionner entre Fedora et RHEL pour stabiliser les nouveautés de Fedora avant l’intégration dans RHEL. Cette distribution est donc une sorte de version test pour RHEL et non plus un clone libre qu’était CentOS.



Quelle Linux pour remplacer CentOS?
Beaucoup de personnes et entreprises se posent la question « Par quoi remplacer CentOS? ». La réponse doit se construire en fonction de vos besoins.

Pour une utilisation orientée web / Cloud, nous vous recommandons l’utilisation de distribution Linux adaptée comme Debian, Arch, Alpine.

Pour une utilisation orientée industrie / serveur SI interne, nous vous recommandons RHEL, SUSE ou Ubuntu si vous avez besoin d’un support éditeur. OpenSuse et Ubuntu pourront aussi faire l’affaire sans support éditeur.

Vous pourriez aussi être intéressé par Rocky Linux qui est un fork communautaire de CentOS mais cette distribution est jeune et son avenir incertain.

La bonne question est surtout quelle dépendance à un fournisseur accepterez-vous?

Comme cette actualité le démontre, malgré le support d’une entreprise l’annonce subite de l’arrêt de CentOS démontre qu’on ne peut véritablement se baser sur un éditeur pour bénéficier d’un suivi long terme.

Les distributions communautaires permettent une approche du changement plus ouverte. En effet tout changement majeur sera d’abord débattu puis proposé au vote à la communauté. L’application de ces changements est donc transparent et laisse le temps nécessaire aux tests des changements et à la prévision / migration des changements.


Info :info redhat
Soruce info :https://www.digdeo.fr/articles/actualite...lternative

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  L’IA résout le casse-tête de la fusion nucléaire
Posté par : ckforum - 29-02-2024, 00:53 - Forum : News - Pas de réponse
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Qu’est-ce que la fusion ?

La fusion nucléaire est un processus au cours duquel deux noyaux atomiques se combinent pour former un noyau plus lourd, libérant ainsi une quantité importante d’énergie. C’est le même processus qui alimente le soleil et d’autres étoiles, où la fusion de l’hydrogène pour former de l’hélium libère une immense quantité d’énergie sous forme de lumière et de chaleur.

Dans le contexte de la recherche sur l’énergie sur Terre, la fusion nucléaire est souvent envisagée en utilisant des isotopes d’hydrogène, tels que le deutérium et le tritium. Ces isotopes sont chauffés à des températures extrêmement élevées pour former un plasma, un état de la matière où les atomes sont ionisés en ions positifs et électrons.

Dans ces conditions, les noyaux d’hydrogène, portés à des vitesses élevées par l’énergie thermique, peuvent fusionner pour former de l’hélium, libérant ainsi de l’énergie.

L’avantage de la fusion nucléaire est qu’elle offre une source d’énergie extrêmement abondante, car les isotopes d’hydrogène nécessaires sont largement disponibles. De plus, contrairement à la fission nucléaire (qui divise les noyaux atomiques), la fusion ne produit généralement pas de déchets radioactifs à longue durée de vie.

Plusieurs défis

Cependant, la mise en œuvre pratique de la fusion nucléaire sur Terre présente des défis majeurs. Les températures nécessaires pour maintenir le plasma dans un état réactif sont en effet extrêmement élevées, de l’ordre de millions de degrés Celsius. Contenir et maintenir ces conditions pendant des durées suffisamment longues pour permettre une production d’énergie significative tout en surmontant les pertes d’énergie inhérentes au processus sont des défis technologiques complexes.

En 2022, l’équipe du Lawrence Livermore National Laboratory, en Californie, s’était notamment illustrée en parvenant au premier gain d’énergie net grâce à la fusion nucléaire. Cette réalisation avait alors marqué un jalon significatif dans la quête de la fusion nucléaire à une échelle pratique pour la production d’énergie.

Le « gain d’énergie net » signifie essentiellement que, dans cette expérience, plus d’énergie a été produite à partir du processus de fusion qu’il n’en a été injecté pour initier et maintenir la réaction. Cela représente une étape cruciale, car pour que la fusion nucléaire soit une source d’énergie viable, elle doit générer plus d’énergie qu’elle n’en consomme.

Cependant, bien que cette étape soit encourageante, il reste des défis importants à surmonter pour rendre la fusion nucléaire économiquement viable et technologiquement faisable à grande échelle. L’un d’eux est la gestion des instabilités du plasma.

Le plasma, qui est un état chaud et ionisé de la matière, peut en effet subir des fluctuations et des perturbations imprévisibles pendant le processus de fusion. Ces instabilités peuvent alors compromettre la stabilité de la matière chauffée et entraver la continuité du processus de fusion, réduisant ainsi l’efficacité de la production d’énergie.

C’est ici que l’intelligence artificielle (IA) intervient.

   

Prévenir les instabilités

Dans le cadre de récents travaux, des chercheurs de l’Université de Princeton ont utilisé des modèles d’IA pour prédire et prévenir les instabilités du plasma.

Les fuites de plasma, résultant de l’instabilité et de la surchauffe du plasma pendant une réaction de fusion, peuvent en effet compromettre la stabilité des champs magnétiques qui le confinent, mettant souvent fin à la réaction. L’équipe de recherche a ici exploité la puissance de l’IA pour anticiper  ces instabilités jusqu’à 300 millisecondes avant qu’elles ne se produisent, soit suffisamment de temps pour apporter des modifications afin de garder le plasma sous contrôle.

Le processus a impliqué l’utilisation de données provenant d’expériences passées sur le tokamak DIII-D, situé au laboratoire national de fusion magnétique à San Diego, en Californie, pour former un réseau neuronal profond capable de prédire la probabilité d’une future instabilité en fonction des caractéristiques du plasma en temps réel. Cela a été combiné avec un algorithme d’apprentissage par renforcement, permettant à l’IA d’essayer différentes stratégies de contrôle du plasma et d’apprendre par essais et erreurs dans un environnement simulé.

Une fois que le contrôleur d’IA a été développé et testé avec succès, il a été appliqué à une expérience réelle de fusion au tokamak D-III D, où il a effectué des modifications en temps réel des paramètres du tokamak pour éviter le déclenchement d’une instabilité.

Les chercheurs considèrent cette étude comme une preuve de concept prometteuse, démontrant comment l’IA peut efficacement contrôler les réactions de fusion. Ils prévoient d’obtenir davantage de preuves en observant le contrôleur d’IA en action sur d’autres tokamaks et envisagent d’étendre l’algorithme pour traiter différents problèmes de contrôle simultanément.

Cette approche ouvre ainsi de nouvelles perspectives pour le développement de la fusion nucléaire en tant que source d’énergie propre et viable.

Source : https://www.science-et-vie.com/cerveau-e...27504.html

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  Une batterie nucléaire qui ne se recharge jamais insérée dans votre smartphone,
Posté par : ckforum - 14-01-2024, 09:38 - Forum : News - Pas de réponse
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Voilà le pari fou de cette start-up chinoise

   

Une entreprise chinoise dit être la première à avoir créé une batterie nucléaire miniature sans recharge nécessaire, qui insérée dans un smartphone pourrait lui offrir une autonomie infinie ou presque, sans être radioactive.

Les smartphones du futur pourraient ne jamais nécessiter de recharge, le tout grâce à une technologie révolutionnaire de batterie nucléaire. Bon, ce n'est évidemment pas pour tout de suite, mais une entreprise chinoise, Betavolt Technology, explore très sérieusement cette possibilité en développant des batteries nucléaires miniatures pour divers appareils, en s'inspirant des stimulateurs cardiaques et des composants spatiaux de longue durée. Vous allez voir, c'est assez fascinant.

La miniaturisation de la puissance nucléaire dans vos smartphones

Basée à Pékin, Betavolt Technology démarre l'année en faisant état d'une avancée notable dans la miniaturisation des batteries à énergie atomique. Son modèle BV100, d'une taille minuscule de 15 x 15 x 5 mm, est capable de générer 100 microwatts d'électricité. La start-up se base sur la désintégration de l'isotope de nickel 63 pour proposer un module plus petit qu'une pièce de monnaie.

Si la technologie nucléaire présentait autrefois des risques en raison de matériaux radioactifs comme le plutonium, Betavolt adopte une approche plus sécurisée. En utilisant un semi-conducteur en diamant et un isotope de nickel en décomposition, l'entreprise atteste de l'absence de rayonnements ou de produits chimiques toxiques.

La batterie ne présente aucun risque d'inflammation ou d'explosion, même dans des conditions extrêmes de -60°C à 120°C. Et surtout, elle n'est pas touchée par une perte de performance, et ses coûts de production restent faibles.

   

Une batterie avec un demi-siècle d'autonomie, mais une commercialisation pas prévue pour tout de suite
Betavolt envisage de produire des batteries nucléaires pour smartphones qui puissent être chargées indéfiniment (une durée de 50 ans est évoquée), éliminant purement et simplement l'impératif de la recharge fréquente du mobile. Ces petites batteries peuvent être assemblées en série pour augmenter la puissance.

Le prototype de la batterie nucléaire est prêt à passer à la production de masse après avoir franchi avec succès le stade pilote. Betavolt vise désormais à créer de petites batteries d'une puissance d'un watt d'ici 2025. Ces batteries nucléaires pourraient devenir incontournables dans de multiples domaines et secteurs comme l'aérospatiale, les équipements d'IA, les dispositifs médicaux, les drones, les capteurs, et les micro-robots.

Quant à la commercialisation auprès du grand public, bien que le prototype soit prêt, Betavolt n'a pas encore de calendrier précis à nous transmettre. Cette avancée promet cependant de redéfinir les normes de l'alimentation électrique.

Source de l'article : https://www.clubic.com/actualite-515359-...noise.html
l'entreprise chinoise : https://www.betavolt.tech/

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  Brave sort officiellement son IA conversationnelle façon ChatGPT
Posté par : ckforum - 03-11-2023, 13:25 - Forum : News - Pas de réponse
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L’entreprise derrière le navigateur Brave vient de rendre disponible son nouveau chatbot intelligent, pour concurrencer ChatGPT. Le focus est, évidemment, mis sur la vie privée.

   

Brave veut continuer à diversifier son catalogue de produit. Après un navigateur web et un moteur de recherche, l’entreprise vient de rendre disponible, pour le grand public, son IA façon ChatGPT. Cette dernière, qui met l’accent sur la vie privée, était en phase de test depuis de nombreux mois dans les versions bêta du navigateur web, mais vient d'arriver sur la version stable du logiciel. L’idée est de concurrencer la solution d’OpenAI, tout en évitant d’avaler les données personnelles de ses utilisateurs et utilisatrices.

Un ChatGPT respectueux de la vie privée
L’IA de Brave est accessible directement depuis l’interface du navigateur, soit en tapant une requête dans la barre d’adresse, soit en invoquant une interface dédiée avec le bouton en forme d’étoile, présent dans la barre latérale du navigateur. À noter que seule la version 1.60 du logiciel permet de discuter avec Leo.

Question fonctionnalité, Brave promet que Leo saura répondre à toutes vos questions, demandes et requêtes, comme un ChatGPT sans les fonctionnalités avancées d’analyse d’image ou de synthétisation de fichiers PDF. L’outil vous permettra de synthétiser le contenu d’une page web, créer du contenu à la volée ou vous aider dans la création de scripts et de bouts de codes.

Bien évidemment, l’argument N° 1 de l’IA de Brave est la protection de la vie privée. Contrairement à d’autres outils concurrents, Leo va dissocier les requêtes qui lui sont adressées des adresses IP des internautes (grâce à un mécanisme de reverse-proxy), les discussions ne sont pas conservées sur un quelconque serveur et ne serviront pas à l’entraînement de l’IA. Aucun compte et aucune information personnelle ne sont nécessaires pour commencer à utiliser Leo.

Une version Premium à 15$ par mois
Techniquement, l’IA de Brave utilise Llama 2, le modèle de langage développé par Meta. Une version « Premium » de l’outil (accessible via un abonnement à 15 $ par mois) permet de basculer sur Claude, un modèle de langage développé par Anthropic et « qui excelle dans le raisonnement logique et le codage » d’après Brave. « Leo est conçu de manière à ce que de nombreux modèles différents puissent y être connectés. […] D’autres modèles seront proposés au fil du temps et les utilisateurs pourront choisir », a précisé le responsable technique de l’entreprise dans une réponse faite au média The Verge.

Pour le moment, Leo n’est disponible que sur Windows, macOS et Linux. L’application Brave sur Android et iOS n’a pas encore le droit de jouer à la magie de l’IA, mais Brave a promis que cela serait corrigé « dans les prochains mois ».

Source de l'article : https://www.clubic.com/actualite-507538-...atgpt.html

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  Un sauveur inattendu reprend les mini PC NUC d’Intel
Posté par : yoyo - 23-07-2023, 06:29 - Forum : News - Pas de réponse
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Les NUC

Les fameux mini PC d'Intel ne vont disparaître grâce à ASUS. Le fabricant prend en charge les NUC actuels et continuera de développer de nouveaux modèles.

   

La fin des NUC (Next Unit of Computing), ce n’est pas pour aujourd’hui. Il y a quelques jours, Intel créait la surprise en annonçant sa volonté de se retirer ses mini PC du marché. Sortis en 2013, les NUC répondaient alors à la volonté de proposer des machines dans un format mini. Au gré des mises à jour, la gamme s’est diversifiée pour répondre aux usages et aux besoins de ses utilisateurs, voyant également la concurrence s’intensifier. Désireux de changer de voie alors que les ventes de PC chutent après l’embellie des années Covid, Intel a finalement indiqué l’arrêt de ses investissements dans les NUC. La fin d’une aventure, mais pas la fin de la branche NUC qui va connaître une seconde jeunesse.

ASUS à la rescousse des mini PC NUC

Intel et ASUS ont signé un accord pour permettre au fabricant taïwanais de reprendre la gamme. Concrètement, ASUS sera en mesure de continuer à fabriquer, vendre et prendre en charge des appareils NUC  de la 10e à la 13e génération. Le constructeur pourra aussi développer de futurs systèmes NUC.

   

« Notre équipe chargée des systèmes NUC a fourni des produits uniques qui ont stimulé l’innovation sur le marché des systèmes de très petite taille. Alors que nous réorientons notre stratégie pour permettre aux partenaires de l’écosystème de poursuivre l’innovation et la croissance des systèmes NUC, notre priorité est d’assurer une transition en douceur pour nos clients et nos partenaires. Je suis impatient de voir ASUS continuer à fournir des produits exceptionnels et à soutenir les clients de nos systèmes NUC », explique Sam Gao, le vice-président d’Intel.

ASUS sauve les NUC et il ne sera pas seul

Acteur important du marché du PC, ASUS aura le droit d’utiliser le nom NUC et donne d’ailleurs naissance à une division appelée ASUS NUC BU (Business Unit). Le fabricant n’est pas non plus un novice en la matière et propose déjà des mini PC, dont une série PN. Présenté par Intel comme « un partenaire idéal » pour continuer l’aventure NUC, ASUS pourrait ne pas rester seul très longtemps. En effet, la firme taïwanaise récupère une licence « non exclusive » et d’autres marques pourront également se rapprocher d’Intel pour proposer des NUC.

Malgré un potentiel évident et un intérêt certain, les NUC n’ont pas toujours été mis en avant par Intel. Un discours qui se vérifie en France, alors même que le catalogue comprend des références intéressantes. De plus, le succès pour les petits formats est plus que jamais d’actualité comme en témoigne le succès du Mac mini d’Apple. Sous Windows, on trouve des références chez des constructeurs historiques (ASUS, Acer, MSI, Zotac…) et plus récemment chez des spécialistes chinois. On peut citer Beelink ou encore Geekom (lire notre test du Geekom AS 6), et même Xiaomi.


Source de l'information : https://www.journaldugeek.com/2023/07/20...uc-dintel/

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